Detailtests / Lada Priora Break

In het kort

• Wegligging

  Le 1.6 16V ne manque pas de caractère. Voilà qui nous change des moteurs atmosphéri- ques à essence de plus en plus lisses et insipides. Malgré de nombreuses adaptations, la boîte de vitesses ne peut cacher son grand âge: sa commande est très floue (mais douce) et l’étagement laisse apparaître un trou entre les troisième et quatrième rapports. Idem pour la direction, trop démultipliée et victime d’un important déphasage entre la consigne au volant et la réaction du train avant.

• Veiligheid

  Malgré un nouveau maître-cylindre et un amplificateur revu, l’effort à la pédale de frein reste plus important que dans les voitures modernes (ce qui ne nous déplaît pas). La tenue de cap est acceptable; en virage, les prises de gîte assez marquées ne perturbent pas outre mesure la précision des trajectoires, mais rendent le comportement pataud et paresseux. La motricité est bonne et l’éclairage vraiment efficace. La sécurité passive vaut 4 étoiles Euro- NCAP... selon l’ancienne méthodologie.

• Comfort

  Comme toutes les voitures développées à l’Est, la Priora est dotée de suspensions sans égales en matière d’absorption. Voilà qui compense en partie le manque de confort des sièges, très basiques. L’insonorisation est légère, laissant pénétrer les bruits extérieurs et de roulement. Notre modèle d’essai était par ailleurs victime de sifflements aéro-dynamiques à hauteur des rétroviseurs. La climatisation est de série en Luxe, tout comme les sièges chauffants.

• Praktische kant

  Le hayon dégage une large ouverture et s’ouvre assez haut. Dommage qu’il ne se déverrouille qu’à l’aide de la télécommande ou de l’interrupteur intérieur. Le couvre-bagages doit se manipuler manuellement, ce qui n’est pas vraiment gênant, moins en tout cas que de devoir démonter les appuie-tête avant de rabattre la banquette. Dans l’habitacle, les espaces de rangement sont prévus en suffisance. Comparée à celle de nombreux modèles actuels, la boîte à gants est très volumineuse.

• Budget

  A 8.490 € dans sa version de base (ristourne promotionnelle de 1.000 € déduite), la Priora Break a tout l’air d’une très bonne affaire. Proposée au même prix, la Dacia Logan MCV 1.6 propose un habitacle et un coffre nettement plus vastes, mais se passe de la direction assistée, des lève-vitres électriques ou encore du verrouillage central. A vous de voir... Les entretiens ne devraient pas vous ruiner et le prix des pièces détachées est très abordable. Reste l’éternel problème de la revente.

Conclusie / Lada Priora Break

Van iets ouds kun je moeilijk iets compleet nieuws maken. Maar de op alle vlakken voorbijgestreef- de Priora – behalve dan qua motor, die echt meeslepend is – zal iedereen aan- spreken die op zoek is naar een midden- klassebreak voor een bodemprijs. Alleen zou hij het in die niche wel eens knap las- tig kunnen krijgen tegenover een Dacia Logan MCV, die bij gelijkwaardige uit- rusting amper meer kost, maar wel veel meer plaats biedt aan inzittenden en ba- gage, beter afgewerkt is en qua comfort en weggedrag veel dichter aansluit bij een moderne auto. Bovendien heeft de Roe- meense Renault-dochter in geen tijd een trendy merkimago neergezet, met alle voordelen van dien voor de herverkoop- waarde. Maar laat dat de pret in deze Lada niet drukken: de Priora is een van de weinige auto’s die nog echt leven, die een minimum aan betrokkenheid vragen van hun bestuurder, en die, op hun ma- nier, een aparte vorm van rijplezier bie- den. Zo bekeken vormt hij een welkome afwisseling op de sterilisering die steeds meer moderne auto’s kenmerkt.

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